Toyota nous dit: « il est inutile d’équiper une voiture d’une batterie dotée de 500 km d’autonomie si les trajets quotidiens de son propriétaire ne dépassent pas 50 km ».
Ils ont raison en effet sur ce point, Nicolas Meilhan, steinmann lionel, Matt Harrison, Gill Pratt.
Mais la solution hybride rechargeable (qui est un admirable monument d’ingénierie) ne vaut que pour des voitures haut de gamme, compte tenu de sa complexité: elle induit ainsi des limitations comparables, avec l’inconvénient majeur d’être thermique (!). Cette piste là n’est guère applicable sur les voitures mass market: on manquerait ainsi la véritable cible de la transition énergétique. Et puis sur les voitures premium, la batterie est en passe de gagner la bataille.
Alors comment sortir de cette impasse, qui inquiète légitimement les constructeurs généralistes ?
Comment voyager l’esprit tranquille avec un VE abordable? (entre 15 et 35 k€, soit 69% du marché!)
Battery swap, route à induction, batterie modulaire d’appoint en location ?
Expérimentons, étudions toutes ces solutions et le marché convergera vers ce qui est le plus commode et le plus efficace, selon les secteurs et les cas d’usage.
Voir https://lnkd.in/g3UEsTXf pour une démo et www.eptender.com
Lien vers l’article : https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/pourquoi-toyota-serige-contre-une-automobile-100-electrique-1369156
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